Relations de travail
Les quelque 600 enseignants membres du Syndicat des enseignantes et enseignants de la Riveraine ont rejeté, par un vote serré tenu jeudi, une partie de l’entente de principe conclue avec le gouvernement du Québec à la fin du mois de décembre.
Après une première journée de grève d’une demi-journée aujourd’hui, le front commun du secteur public annonce qu’il débraiera de nouveau les 21, 22 et 23 novembre, à moins d’une entente d’ici là avec Québec, quant au renouvellement des conventions collectives.
À l’instar de leurs collègues d’autres syndicats membres du Front commun du secteur public, ceux du Syndicat du soutien scolaire de la Riveraine (SSSLR) ont voté à 91,8 % en faveur d’un mandat pouvant aller jusqu’à la grève générale illimitée.
Une requête en accréditation syndicale a été déposée 3 juin dernier pour quelques 80 salariés de Viandes Seficlo à Bécancour.
Après Nicolet, c’est au tour de la Ville de Bécancour de s’assurer d’une paix syndicale pour les prochaines années.
Les cols blancs et les cols bleus de la Ville de Nicolet ont entériné dans une proportion de 83,3 % l’entente de principe qui leur a été présentée la semaine dernière en assemblée générale. La présente convention collective était échue depuis près de 15 mois.
La paix syndicale est assurée jusqu’en 2026 à l’École nationale de police du Québec (ENPQ), à Nicolet. L’entente de principe conclue entre l’employeur et le Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ) a été entérinée à 93% mercredi soir.
La situation est devenue intenable pour les préposés aux bénéficiaires du CHSLD Christ-Roi de Nicolet aux dires de leur syndicat.
Une entente de principe est intervenue dans la nuit de mercredi à jeudi entre la direction de l’École nationale de police du Québec (ENPQ), et le comité de négociation des membres du Syndicat de la fonction publique et parapublique du Québec (SFPQ).
Les activités sont perturbées aujourd’hui jeudi et demain vendredi à l’École nationale de police du Québec à Nicolet. Quelque 400 travailleurs syndiqués représentant 70 % du personnel de l’établissement ont mis leur menace de grève à exécution.