AGRICULTURE

L’UPA du Centre-du-Québec souhaite trouver, et ce, dans les plus brefs délais, un nouveau président et un vice-président par intérim.

Coup de tonnerre dans le monde agricole régional, le président de l’Union des producteurs agricoles (UPA) du Centre-du-Québec, Daniel Habel, ainsi que son vice–président, Alain Désilets, ont tous deux remis leur démission.

Alors que la Chine vient de demander de faire enquête sur le prix à l’exportation du canola en réaction des tarifs imposés sur les véhicules électriques par Ottawa, le préfet de la MRC de Bécancour, Mario Lyonnais, commence à s’inquiéter de l’exportation du porc.

Partout au pays, depuis minuit, les chemins de fer au pays sont paralysés en raison d’un important conflit de travail qui implique 9 300 travailleurs.

Au cours de la fin de semaine, les pluies torrentielles ont principalement touché la région de la Maurice, mais elles auront aussi de graves conséquences sur les agriculteurs du Centre-du-Québec.

Une productrice maraîchère d’une ferme biologique de Bécancour déplore qu’un travailleur étranger temporaire soit parti du jour au lendemain, et ce, sans l’avertir.

L’organisme les Producteurs en serre du Québec (PSQ) s’inquiète d’une mesure gouvernementale les obligeant à recycler les plastiques qu’ils utilisent pour leur production. Cette obligation sera effective dès 2025, donc dans peu de temps. Trop peu d’ailleurs pour celui qui exploite une serre à St-François-Du-Lac, Philippe Beauregard. Pour ce dernier, il y a encore trop […]

Maintenant que trois mois se sont écoulés depuis la grande mobilisation des agriculteurs à travers la province pour soulever leurs inquiétudes, le président de la Fédération de l’UPA du Centre-du-Québec, Daniel Habel, a constaté que quelques aspects ont fini par débloquer.

Les producteurs d’acéricoles de la région ont connu une dernière bonne saison alors que la production de sirop d’érable a été supérieure à la moyenne québécoise des dernières années, et ce, autant sur la quantité et la qualité.

  Le virage de la transition énergétique amorcé au Québec est tellement vaste et tellement rapide que la plupart des partenaires sociaux, politiques et, même, économiques, estiment qu’il faut élargir les lieux de débats.