Vent d’impatience chez les syndiqués de l’ENPQ
Vent d’impatience chez les syndiqués de l’ENPQ
Un vent d’impatience se fait sentir à l’École nationale de police du Québec (ENPQ) à Nicolet. Les employés membres du Syndicat de la fonction publique du Québec (SFPQ) sont sans contrat de travail depuis avril 2020.
Maintenant que les nouvelles conventions collectives sont signées avec la fonction publique, le syndicat réclame une accélération de la négociation de la part de cet employeur du secteur parapublic.
Écouter Frédérick Dagenais, président régional du SFPQ :
Le SFPQ regroupe quelques 300 employés de l’ENPQ parmi lesquels on retrouve des instructeurs, des comédiens, le personnel de cuisine, de l’hébergement, le service d’entretien, de soutien technologique, d’approvisionnement, d’accueil et de l’administration.
Le syndicat rappelle les nombreuses demandes qui ont été faites par l’ancienne ministre de la Sécurité publique, Geneviève Guilbault pour augmenter les formations de policiers à l’ENPQ. Cela représente un défi pour l’organisation. «Nous entendons beaucoup parler de l’augmentation des nouveaux policiers à former ces temps-ci. Un poids non négligeable sur l’organisation et le personnel de l’école», souligne M. Frédérick Dagenais.